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Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline

Volume 19 (Décembre 2022) HS1

Maladies inflammatoires chroniques chez le chat et le chien


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Sommaire

Biologie

Inflammation chronique : l’exploration par la biologie médicale p. 6

La mise en évidence d’une inflammation chronique systémique peut être un challenge pour le vétérinaire praticien; elle est la résultante d’un faisceau d’indices obtenus par l’évaluation anamnestique et clinique couplée à la réalisation d’examens complémentaires ciblés (biologie médicale, imagerie médicale, etc.).

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023015

Orthopédie

La douleur chronique inflammatoire chez le chien et le chat : état des connaissances, recommandations et développements p. 13

La douleur chronique inflammatoire est fréquente chez le chien et le chat. Savoir la reconnaître, l’évaluer et la prendre en charge de façon adaptée est un enjeu de bien-être animal et répond à une demande croissante de la part des propriétaires.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023007

Diagnostic de l’arthrose chez le chat p. 24

L’arthrose touche un à trois chats sur quatre, à tout âge. Elle est responsable de douleur chronique dont l’expression clinique est fruste, subtile et variée, ce qui la rend difficile à diagnostiquer. L’examen orthopédique est compliqué chez le chat et l’examen radiographique n’est pas souvent corrélé à la clinique.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023005

Prise en charge thérapeutique de l’arthrose chez le chat p. 32

La prise en charge de l’arthrose est multimodale chez le chat associant contrôle du poids, amélioration de l’activité, aliments complémentaires, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et analgésique. Il n’existe pas de protocole. La stratégie thérapeutique est adaptée au chat et réévaluée dans le temps.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023006

Gastro-entérologie

Entéropathies inflammatoires chroniques chez le chien : actualités p. 50

Ces dernières années, les entéropathies inflammatoires chroniques ont fait l’objet d’une recherche active. Les dernières actualités scientifiques, notamment la découverte du rôle important du microbiote intestinal dans l’homéostasie digestive, viennent-elles bousculer la démarche diagnostique et thérapeutique classique ?

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023009

Entéropathies chroniques du chat, quelles spécificités ? p. 60

Les entéropathies chroniques sont des affections très fréquentes dans l’espèce féline. Elles affectent les chats de toute race, de tout sexe et de tout âge. Elles regroupent des causes infectieuses, alimentaires, inflammatoires ou néoplasiques. La connaissance des données épidémiologiques et cliniques de chaque entité est essentielle afin de préciser les hypothèses diagnostiques propres à chaque individu et de hiérarchiser ainsi les examens complémentaires les plus adaptés.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023010

Les triades du chat p. 68

Les triades du chat sont un groupe de maladies inflammatoires touchant l’intestin, les voies biliaires et le pancréas. Favorisées par l’anatomie particulière des chats, leur pathogénie exacte reste cependant incertaine. Leur diagnostic repose sur une démarche rigoureuse nécessitant finalement la réalisation de biopsies afin d’obtenir un diagnostic précis permettant un traitement adapté.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023011

Respiratoire

Bronchopneumopathies inflammatoires des carnivores domestiques : entités spécifiques, place des examens complémentaires et prise en charge à long terme p. 76

Les bronchopneumopathies inflammatoires sont à l’origine de toux et parfois de difficultés respiratoires. Des examens complémentaires sont nécessaires pour exclure d’autres affections causant des signes cliniques similaires. Le traitement, chronique, fait appel aux glucocorticoïdes.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023012

Neurologie

Méningoencéphalites d’origine inconnue chez le chien p. 92

Les méningoencéphalites d’origine inconnue (MOI) sont des affections inflammatoires du système nerveux central fréquentes chez le chien. Si ces maladies sont connues depuis plusieurs décennies, elles demeurent imparfaitement caractérisées et représentent fréquemment un défi diagnostique et thérapeutique pour le clinicien. Cet article synthétise les données disponibles concernant la caractérisation pathogénique et clinique, les critères diagnostiques, le traitement et les facteurs pronostiques des MOI canines. Les perspectives diagnostiques et thérapeutiques seront également discutées.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023014

Ophtalmologie

Médecine interne

Leishmaniose canine : le point de vue de l’interniste p. 112

La leishmaniose est particulièrement bien connue du clinicien pour les lésions dermatologiques qu’elle entraîne. Néanmoins, l’atteinte rénale secondaire est prévalente et doit faire l’objet d’une investigation systématique afin de préciser la nécessité d’un traitement spécifique et le pronostic de l’animal.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2023018

Réponses aux tests de formation continue p. 121