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Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline

Volume 19 / Numéro 82 (Décembre 2022)

Affections des surrénales chez le chat, le chien et le furet


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Sommaire

Dossier : Affections surrénales du chien, du chat et du furet

Diagnostic du syndrome de Cushing spontané chez le chien p. 7

L’hypercorticisme est l’une des endocrinopathies les plus fréquentes du chien. Établir un diagnostic nécessite une bonne connaissance des éléments épidémiologiques, cliniques et biologiques compatibles, associée à une maîtrise de l’interprétation des résultats des tests évaluant la fonction surrénalienne.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022073
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Suivi et surveillance du traitement au trilostane p. 20

Le syndrome de Cushing (ou hypercorticisme spontané) est la dysendocrinie la plus couramment diagnostiquée chez le chien. Bien que la prise en charge chirurgicale représente le seul traitement étiologique, la majorité des animaux sont traités médicalement, notamment à l’aide de trilostane.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022070

L’hyperaldostéronisme primaire du chat - Une dysendocrinie encore sous-diagnostiquée p. 26

L’hyperaldostéronisme primaire (HAP) du chat est une maladie endocrinienne encore sous-diagnostiquée, privant les animaux qui en sont atteints d’un traitement approprié. Considéré pendant des années comme une affection rare, l’HAP constituerait la dysendocrinie surrénalienne la plus fréquente chez le chat.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022069

Phéochromocytome chez le chien - Quand et comment le diagnostiquer p. 32

Les signes associés au phéochromocytome sont peu spécifiques. Leur caractère épisodique ainsi que la détection d’une masse surrénalienne et de lésions induites par une hypertension sont des signes d’appel importants. Le recours aux tests endocriniens voire à l’analyse cytologique en facilite le diagnostic.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022071

Conduite à tenir face à un fortuitome surrénalien chez le chien ou le chat p. 40

Avec les progrès de l’imagerie médicale en médecine vétérinaire, il est de plus en plus fréquent que le clinicien soit confronté à la découverte fortuite d’une masse surrénalienne. Une évaluation minutieuse, anamnestico-clinique, échographique et fonctionnelle est alors nécessaire.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022072

Surrénalectomies - Indications, réalisations et suivi postopératoire p. 50

Une surrénalectomie doit être soigneusement préparée. Il est nécessaire de déterminer quel trouble endocrinien est provoqué par la lésion surrénalienne, et d’anticiper les conséquences de l’acte pour que l’équipe chirurgicale soit prête à réaliser une dissection délicate pouvant nécessiter une veinotomie de la veine cave caudale.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022074

La maladie d’Addison chez le chien - Actualités diagnostiques et thérapeutiques p. 70

La maladie d’Addison, en référence à Thomas Addison qui l’a décrite chez l’homme en 1855, est une affection hormonale aux présentations cliniques variées. Elle est considérée comme relativement peu fréquente chez le chien. Plusieurs équipes de recherche continuent cependant de travailler sur le sujet, et de nouvelles données viennent préciser les éléments-clés de surveillance et de réussite du traitement.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022068

La maladie d’Addison chez le chat - Observation clinique p. 77

L’hypocorticisme, maladie très rarement rencontrée chez le chat, est responsable d’anomalies cliniques et paracliniques protéiformes. Ce cas clinique présente la démarche diagnostique et thérapeutique face à une suspicion de maladie d’Addison chez un chat. Sa discussion permettra d’aborder les similitudes et dissemblances de cette affection entre le chien et le chat.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022076

Les affections surrénaliennes chez le furet p. 86

La maladie surrénalienne est un motif fréquent de consultation chez le furet gériatrique. La réalisation d’une échographique abdominale et d’un bilan hormonal permettent le dépistage de cette affection. Une prise en charge médico-chirurgicale permet d’offrir une qualité de vie ¬satisfaisante au patient.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2022077

Réponses aux tests de formation continue p. 94