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Ulcères cornéens

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Dossier : Les ulcères de cornée chez le chien et le chat

Sémiologie des ulcères de cornée chez le chien et le chat

Les ulcères de la cornée sont un motif fréquent de consultation en ophtalmologie chez les carnivores domestiques. Les symptômes sont variables selon leur profondeur et leur durée d’évolution. Un examen clinique rigoureux permet d’en apprécier la gravité afi n de proposer le traitement médical ou chirurgical adapté.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2024031

La tomographie en cohérence optique (OCT) : nouvelle technique d’exploration de la cornée

La tomographie en cohérence optique (OCT) est une technique d’imagerie reposant sur l’analyse du trajet de rayons infrarouges au travers d’un milieu transparent. Son pouvoir de résolution lui permet de donner des images très précises de la structure normale ou pathologique de la cornée.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2024032

Traitement médical des ulcères cornéens du chien et du chat

Le traitement médical des ulcères cornéens sera variable selon la gravité et la cause de la lésion, et donc le type d’ulcère diagnostiqué : bactérien, viral, indolent, traumatique, lié à une sécheresse oculaire ou un défaut palpébral, etc.

Le présent article se propose d’explorer les trois principes qui président au traitement médical des ulcères, jusqu’à la complète cicatrisation.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2024042

Intérêt et applications du Cross-linking du collagène cornéen en ophtalmologie vétérinaire

Le Cross-linking du collagène (CXL) cornéen fait partie des thérapies photodynamiques utilisées en ophtalmologie humaine. Son application en médecine vétérinaire est un outil complémentaire dans la prise en charge des infections cornéennes chez le chien et le chat, ainsi que de la kératopathie bulleuse canine.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2024034

Gestes techniques : l’ulcère superficiel chronique

L’ulcère superficiel chronique (USC) se définit comme une perte de substance épithéliale (sans facteurs déclenchants ou aggravants) ne cicatrisant pas sous un délai d’environ 10 jours malgré la réalisation d’un traitement médical correctement conduit. Il nécessite donc une prise en charge bien spécifique.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvcafe/2024036