Face à des affections dermatologiques dans l’espèce féline, les praticiens doivent inclure, dans leur diagnostic différentiel, une origine comportementale expliquant les lésions observées. Ainsi, les alopécies auto-induites et les dermatites ulcératives idiopathiques peuvent être prises en charge par la médecine du comportement. Des thérapies modifiant l’environnement peuvent s’associer, ou non, aux traitements médicamenteux. Mais les propositions sont nombreuses, et il peut sembler difficile de les adapter à chaque animal et à chaque propriétaire. Lors du diagnostic de lésions cutanées d’origine comportementale chez le chat, quelles thérapies faut-il alors proposer ?
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Le Nouveau Praticien Vét canine & féline, 21 89 (2024) 52-58
Publié en ligne : 31 mars 2025
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